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Concours pour la construction d’une médiathèque - archives au sein du quartier Jean Zay

La future école s’implante dans le quartier de la Briquette de Marly, à la croisée d’un territoire, d’un patrimoine et d’une nouvelle histoire à venir rendue possible par le Nouveau Programme de Renouvellement Urbain. Il répond au souhait de la Ville de regrouper les deux écoles, Nelson Mandela et Louise Michel, autour d’un groupe scolaire fédérateur.

PRESENTATION : Le collège des Docks s’inscrit au PPI pour la période 2021-2030 en tant qu’équipement public indispen¬sable, afin de répondre au besoin démographique identifié. Le projet s’insère dans une cohérence à l’échelle territoriale, à la fois dans un souci de conti¬nuité mais également de connexion avec les axes existants. Il s’installera sur l’îlot M8 du secteur 4 de la ZAC des Docks avec un soin particulier pour faire la couture avec le quartier tout en prenant en compte les contraintes écologiques (espèces proté¬gées, zone de protection de la biodiversité). Ce sont de solides accroches qui génèrent la création d’es¬paces publics rendus vivants par la fréquentation scolaire et le prolongement de la stratégie végétale du quartier.

Conception et suivi des travaux d'un collège neuf de 600 élèves, comprenant notamment un gymnase de type B et un espace vert de 1500 m² environ qui sera cédé à la commune.

SE GLISSER AVEC DÉLICATESSE DANS L’ÉPAISSEUR HISTORIQUE D’UN SITE
Ce projet est l’occasion de révéler l’urbanité latente du système abbatial, complexe architectural et paysager ayant sédimenté des états et usages multiples, laissant autant de marques et de signes plus ou moins interprétables, enchevêtrés dans un continuum spatial patrimonialement très dense. Avec humilité, le projet est une occasion de clarification de ce système historique et spatial séculaire. Entre les distinctes campagnes de construction et les épisodes de destructions parfois massives, le site s’est toujours réinventé en s’appuyant sur l’héritage en place. A sa manière, le bâtiment de la médiathèque constitue lui aussi une belle page architecturale du site, par la grande lisibilité de son plan et de son principe spatial. Mais le site a aussi perdu de sa cohérence au fil du temps. Il s’agit de renouer avec les tracés initiaux et de les projeter dans une contemporanéité d’usages en parachevant le système d’espaces et d’interstices permettant de naviguer au sein de l’ancienne abbaye. Soit : créer du lien là où les aménagements les plus récents ont sanctionné une disjonction entre les lieux.

L’opération consiste en la transformation des 97 logements familiaux de la tour poissonniers en un programme mixte comprenant des logements destinés à l’accueil d’étudiants et des jeunes actifs , des locaux partagés qui permettent de proposer une offre de type co-living, d’une « résidence des arts vivants » avec des studios de répétition à destination des étudiants en musicologie et danse de Sorbonne Université mais également pour partie accessibles aux résidents de la Tour des Poissonniers et aux habitants du secteur pour favoriser les porosités et inscrire la tour dans la vie du quartier.

- Réhabilitation de bâtiments pour l’extension d’une école de musique,
- Extension neuve d’une salle de spectacles,
- Construction d’une médiathèque,
- Construction d’un hangar logistique.

Modernisation du bâtiment d’accueil de l'Aquascope et aménagement d'un circuit écotouristique sur un complexe de 16 ilots en création avec une scénographie adaptée, ainsi qu’un parcours aérien dans les arbres sur la rive sud

Nous avons conçu un bâtiment sobre dans son utilisation de la matière et de l’énergie, simple dans son utilisation et performant dans sa maintenance. Le parti d’une structure bois et d’une isolation en fibre de bois, évocation de la culture constructive meurthe-et-mosellane, s’inscrit dans les filières biosourcées locales.

SP : 1 350 m²
Montant des travaux : 4 186 966 € HT dont
520 560 € HT de VRD et paysage
Concours

Un bâtiment humble au service du paysage

SP : 3 504 m²
Montant des travaux : 19 000 000€ HT
Concours

SP : X XXX m²
Montant des travaux : 10 000 000€ HT

Concours

Inscrit dans le contexte de renouvellement urbain du grand projet Carré de Soie, dans la partie patrimoniale à proximité de la cité Tase, le projet Autre Soie ambitionne de concilier un passé marqué par les aménagements d’une histoire industrielle remarquable et un futur renouant «avec les valeurs de solidarité, d’hospitalité et de générosité du quartier».

SP : 6 700 m²
16 250 000€ HT

SP : 1 487 m²
Montant des travaux : 4 000 000€ HT
Concours lauréat

SP : 1 170 m²
Montant des travaux : 2 666 877€ HT
Concours

SP : 21 862 m² - 43 132 953€ HT

Concours

SP : 3 688 m²
Montant des travaux : 10 100 000€ HT
Concours

HQE, gestion des eaux, ventilation naturelle assistée double-flux, label E+C-, Mat. biosourcés & Locaux : bois & terre crue

SP : 1 487 m²
Montant des travaux : 4 000 000€ HT

Concours lauréat

SP : 1 800 m²
Montant des travaux : 3 615 000€ HT

Concours lauréat

SP : 3 120 m²
Montant des travaux : 7 230 000€ HT

Concours lauréat - mission complète

Ventilation Naturelle Niv. énergie 2 réf. E+C-, Passif, approche bioclimatique

Matériaux locaux & Bio-sourcés, Passif, Chaudière bois (filière locale)

Matériaux locaux & Bio-sourcés, Passif, Chaudière bois (filière locale)

Contexte :
Le Musée d’Orléans pour la Biodiversité et l’Environnement a été ouvert en 1966. Malgré la rénovation dans les années 85/90, sa présence urbaine est très difficile à percevoir, sa stature de musée l’est tout autant, son identité invisible. Le contexte urbain n’est pas valorisant ; sa contiguïté très forte avec la gare routière et les nombreux flux et trafics brouille toutes les cartes comme la hiérarchie des accès, notamment par la présence forte de la signalétique routière.

Objectifs :
Pour donner enfin à ce musée à la si riche collection la présence urbaine qui lui revient, nous avons cherché une nouvelle identité où l’architecture et la muséographie trouvent une symbiose à la fois dans son image extérieure et dans ses espaces intérieurs. Il s’agit aussi d’affirmer que ce grand musée est attaché à la grande histoire du « vivant », selon l’approche contemporaine « de la biodiversité et de l’environnement ».

Dans la cadre d'une consultation internationale pour la réalisation d'une tour bois de belle hauteur à Bordeaux, (apm)associés a conçu une tour 100% bois d'une hauteur de plus de 60 mètres.

Ce projet n'est pas lauréat de la consultation internationale.
En 1993, la vaste et sombre église Sainte-Gertrude, place van Meyel à Etterbeek en Bruxelles, a été déconstruite pour des raisons de souci de stabilité. Elle a libéré une place sur laquelle la commune et la Fabrique d'Eglise ont décidé d'ériger une église de dimension plus modestes et conforme aux usages contemporains.
Notre équipe a proposé une église urbaine du XXIè siècle, revendiquant sa catholicité : conçue à partir de la lumière, elle accueille le recueillement tout en étant ouverte sur la ville, citadine et amène. Manifestant ses fondements cisterciens, elle est sobre et bienveillante, conforme à la lettre encyclique LAUDATO SI' : " la sobriété, qui est vécue avec liberté et de manière consciente, est libératoire". Construite en matériaux d’origine naturelle, en bois, en terre cuite ou crue et en verre, frugale en énergie, elle protège l’humanité et la terre, selon cette écologie « partie d’une création généreuse et digne, qui révèle le meilleur de l’être humain ».

Un lieu d’apprentissage pour le 21ème siècle
Les métiers de l’artisanat sont l’une des premières richesses régionales. Les savoir-faire, dans leur diversité et leur complémentarité sont le principe actif et non délocalisable d’une économie endogène. Les filières économiques qui en découlent parlent du territoire dans son ensemble : de ses climats, ses terroirs, de la pluralité des cultures qui l’habitent. La diversité régionale en la matière est unique : des Alpes à la Méditerranée, de la riviera aux plateaux bordant la Durance, des espaces ruraux aux métropoles émergentes, le foisonnement des milieux, des savoirs et des pratiques constitue un trésor vivant.

Le projet consiste en la construction d’un internat de 100 lits et la résorption de bâtiments démontables et modulaires au Lycée Alfred Nobel à Clichy sous bois.

Le projet consiste en l'ajout d'un internat de 80 lits au lycée Geoffroy Saint-Hilaire à Etampes.

Le programme de l’IMREDD est riche en utilisateurs et démontre le souhait d’une université ouverte où les idées foisonnent. Public non initié, étudiants, enseignants, chercheurs, partenaires privés, et personnel administratif, le projet propose un espace propice à la rencontre, à la discussion, à la concrétisation de partenariats entre chacun.

Dans un site en pleine phase de rénovation urbaine (Metz-Borny); l'installation d'un programme liste à la fois socio-éducatif et pour la petite enfance est un levier de transformation puissant.

"Maintenir le vide ouvert, ce serait l'art suprême" Peter Handkhe
Le Grand Palais : L’instrument est là, magnifique; il convient de le réaccorder, l’accorder à la métropole et aux usagescontemporains. Et finalement de s’y accorder, pour concilier les lieux de cette pièce patrimoniale unique et les attentes légitimes d’une multitude à ré-enchanter.

L'objet est la création d'une maison de la recherche pour compléter le site universitaire de l'Université Paris 8 à Saint-Denis (93). Le programme est réparti dans trois volumes reliés par les espaces de circulation et de convivialité. Chacun de ces trois petits bâtiments dispose de son propre caractère, s’ajuste et « répond » spécifiquement aux façades et volumes des bâtiments de l’université. Ils contribuent à créer les deux cours « partagées » par l’ensemble des universitaires.

La Tour Brunfaut se situe dans le croissant pauvre de Bruxelles, dans la zone de mutation du canal. La construction existante en structure acier et système sec procède d'une grande efficacité et d'une économie de matière hors du commun. Le projet consiste en la réhabilitation totale de la tour en situation occupée.

Créé autour des archives de l'explorateur Paul Emile Victor, ce musée fédère dans un bourg montagnard une partie muséale à un restaurant, une patinoire, des services techniques municipaux. C'est une extension de bâtiment existant, construite en bois selon les conditions de l'écoconstruction et une performance BBC intégrant la partie réhabilitée.

Situé sur les contreforts des Monts d’Arrée et dominant la rade de Brest, le domaine offre un concentré des paysages qui caractérisent le massif d’Armorique. Le projet permet une approche simple, ludique et changeante du parc. Une architecture inspirée de la forme traditionnelle des maisons paysannes du Léon, permet d’accueillir les visiteurs et d’orienter leur découverte du domaine. Le travail sur les accès, la re-définition des limites et les parcours proposés aux visiteurs s’accompagne d’une proposition de mobilier-signalétique.

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Pour la maison du Marais de Saint-Omer, nous avons proposé une architecture et un paysage directement inspirés de l'architecture locale et du marais, par un plan de masse et un volume reprenant le parcellaire historique, les façades en pignons et les matériaux locaux. Passif pour certaines parties, BBC pour d'autres, le bâtiment est en ventilation naturelle.

Pour la réponse au concours d'une médiathèque et d'un cinéma dans la commune de Belleville (69), nous avons conçu avec Tekhné un ensemble en bois et béton, ventilé naturellement. L'ensemble est composé de trois volumes répondant chacun aux échelles des lieux auxquels ils s'adressent. Décollés du sol pour raison d'inondabilité, ils sont surélevés afin d'autoriser un usage public du sol et une évolution ultérieure.

Le projet du Centre de l’Environnement et de l’Energie s’établit dans un paysage de bocage à la lisière de la partie agglomérée du bourg. Il aborde le sujet essentiel de la relation de l’homme à la nature, tel qu’il se pose en ce début de XXI° siècle : du point de vue de l’environnement et du point de vue de l’énergie. Ainsi, le sujet fonde-t-il toute sa pertinence dans cette double dimension, une part millénaire : la Terre humaine, et une part contemporaine : la crise conjointe de l’environnement et de l’énergie. Sa vocation est le partage et la réflexion. Il s’agit de partager les connaissances en termes d’écologie et de construction environnementale, et de réfléchir aux conséquences sur la planète des choix de l’homme.

La tour Bois-le-Prêtre fut construite dans le 17ème arrondissement de Paris par Raymond Lopez entre 1959 et 1961. En 2005, l'OPAC de la ville de Paris a lancé un concours pour sa métamorphose, avec vocation d'en faire un exemple de réhabilitation durable. L'OPAC a demandé à François-Hélène Jourda d'être l'AMO de ce projet ambitieux. Eu égard à cette ambition, Philippe Madec a sollicité son ami malais le Dr Ken Yeang, connu pour développer des solutions de design environnemental des immeubles de grande hauteur.

A l'occasion de la candidature de la Ville de Paris pour les jeux Olympiques 2012, l'atelier a répondu à l'appel du pavillon de l'Arsenal pour manifester son engagement. Le projet consiste en une flamme, occupée en son centre par un ballon lumineux, qui monte jusqu'à l'échéance du choix. Une structure très légère, peu consommatrice de matière et inspirée à Jean-Marc Weill par les techniques de l'ingénieur soviétique Chukov, s'élevait à 150 mètres, complétée à ses pieds par des structures gonflables en polypropylène (matière plastique recyclable). Au sommet de la flamme des éoliennes à axe vertical, toutes dorées, produisaient l'énergie de l'ensemble et davantage.

état : concours

Consultation internationale pour l'extension de l'école d'architecture de Lille.
Le projet consiste à intégrer le programme dans un volume simple, un cube, construit à partir d'un centre lourd, dense en béton, prolongé par une structure en bois, terminé par une peau en verre réactive. La lumière naturelle directe ou filtrée est partout présente.